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Aucun document n’indique que notre usine va réellement rejeter 800 tonnes par an de polluants.

Les émissions d’un projet industriel sont soumises à une réglementation stricte. Celles-ci s’apprécient suite à une étude d’impact réalisée selon des modélisations techniques par des entités expertes dans le domaine. La méthode et les conclusions de cette étude sont par ailleurs validées par les services de l’Etat dont l’agence régionale de santé (ARS).

En définissant les émissions de notre nouvelle usine dans le Soissonnais, nous nous sommes fixés des valeurs maximales atteignables afin de démontrer que, même avec ces hypothèses, l’impact sanitaire est maîtrisé et considéré comme inexistant. En réalité, sur la base des valeurs moyennes annuelles mesurées sur notre site ROCKWOOL de Saint-Éloy-les-Mines et des caractéristiques du projet du Soissonnais, la somme des rejets prévisibles seraient plutôt de l’ordre de 350 tonnes par an alors que le chiffre d’environ 800 tonnes correspond au résultat d’un calcul fait à partir des valeurs limites.

De plus, les mesures de qualité de l’air réalisées en exploitation par des bureaux d’études spécialisés à Saint-Éloy-les-Mines démontrent que les concentrations réelles dans l’environnement sont très largement inférieures aux concentrations recommandées et que l’impact sur le niveau actuel de qualité de l’air est insignifiant et/ou non mesurable.

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